Nathanaëlle Soler

Effets du changement climatique sur la santé mentale et le bien-être des populations de Nouvelle-Calédonie

Mes recherches portent sur la santé mentale et les pratiques thérapeutiques en Nouvelle-Calédonie, à partir d’une approche ethnographique et historique. Je me suis intéressée dans ma thèse à la reconfiguration des dispositifs de psychiatrie dans le cadre d’un processus de décolonisation, et à la place accordée aux acteurs et aux savoirs culturels kanak.

Je travaille à présent sur les liens entre environnement et bien-être en Nouvelle-Calédonie, en portant une attention particulière aux approches océaniennes du soin et à comment les sujets réélaborent leur rapport au monde face aux changements climatiques. Dans le cadre de la CoSav One Health de l’IRD, ma recherche postdoctorale porte sur les effets des changements environnementaux sur le bien-être et la santé mentale des populations des îles Loyauté, ainsi que sur les formes spécifiques de vulnérabilités et de résiliences de ces populations. Dans le contexte de l'épisode insurrectionnel de mai 2024, j'ai enquêté sur les impacts des violences sur les prises en charge hospitalières, et sur la place du politique dans les relations de soins en Nouvelle-Calédonie.

En parallèle de ces recherches, je poursuis une enquête au long cours sur le vécu des personnes concernées par les hallucinations auditives et les troubles psychotiques en Nouvelle-Calédonie et sur les ressources qu’elles mettent en œuvre pour apprivoiser ces troubles.

• Chercheure associée au projet multidisciplinaire « Voix et Silences d’Océanie. Socio-anthropologie de la santé mentale en Océanie (Nouvelle-Calédonie, Vanuatu, Wallis-et-Futuna) », coordonné par Valelia Muni Toke (SeDyL, IRD)
• Chercheure associée au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS), EHESS : https://cems.ehess.fr/membres/nathanaelle-soler
• Postdoctoral Visiting Fellow au Département d’Anthropologie de Stanford, bourse du Centre France-Stanford, (2023)

Effets du changement climatique sur la santé mentale et le bien-être des populations de Nouvelle-Calédonie

Mes recherches portent sur la santé mentale et les pratiques thérapeutiques en Nouvelle-Calédonie, à partir d’une approche ethnographique et historique. Je me suis intéressée dans ma thèse à la reconfiguration des dispositifs de psychiatrie dans le cadre d’un processus de décolonisation, et à la place accordée aux acteurs et aux savoirs culturels kanak.

Je travaille à présent sur les liens entre environnement et bien-être en Nouvelle-Calédonie, en portant une attention particulière aux approches océaniennes du soin et à comment les sujets réélaborent leur rapport au monde face aux changements climatiques. Dans le cadre de la CoSav One Health de l’IRD, ma recherche postdoctorale porte sur les effets des changements environnementaux sur le bien-être et la santé mentale des populations des îles Loyauté, ainsi que sur les formes spécifiques de vulnérabilités et de résiliences de ces populations. Dans le contexte de l'épisode insurrectionnel de mai 2024, j'ai enquêté sur les impacts des violences sur les prises en charge hospitalières, et sur la place du politique dans les relations de soins en Nouvelle-Calédonie.

En parallèle de ces recherches, je poursuis une enquête au long cours sur le vécu des personnes concernées par les hallucinations auditives et les troubles psychotiques en Nouvelle-Calédonie et sur les ressources qu’elles mettent en œuvre pour apprivoiser ces troubles.

• Chercheure associée au projet multidisciplinaire « Voix et Silences d’Océanie. Socio-anthropologie de la santé mentale en Océanie (Nouvelle-Calédonie, Vanuatu, Wallis-et-Futuna) », coordonné par Valelia Muni Toke (SeDyL, IRD)
• Chercheure associée au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS), EHESS : https://cems.ehess.fr/membres/nathanaelle-soler
• Postdoctoral Visiting Fellow au Département d’Anthropologie de Stanford, bourse du Centre France-Stanford, (2023)