La demande croissante de bois de rose en Chine conduit à une intensification de l’exploitation illégale dans de nombreux pays, notamment en Afrique de l’Ouest. Des chercheurs de l’UMR SENS ont étudié les filières de ce commerce international et mis au jour les transactions et arrangements instaurés entre acteurs de ce commerce au Ghana. Leurs résultats sont publiés dans Geoforum.
Comment les investisseurs chinois procèdent-ils pour avoir accès au bois de rose malgré les législations visant à protéger ces ressources dans les pays producteurs à l’exemple du Ghana ?